dimanche 2 avril 2017

Vivre à Brignoles aujourd'hui !

Pour les anciens, ce titre rappellera le titre d'un magazine où Christian Caïetti trempait volontiers sa plume au vitriol pour dénoncer l'incurie politique locale. Il n'aurait jamais pu imaginer dans les années 80, qu'on puisse faire bien pire 30 ans plus tard. Brignoles a donc plus que jamais « mauvaises mines ». L'impensable ne connaît plus de frontières. C'est en lisant les élucubrations de Monsieur Oui-Oui, sur l'imbroglio de « la place des cars », dans une édition du journal local, que nous en avons eu la preuve, si besoin était.
Nous connaissions déjà la gestion politique en mode marionnettistes de l'ombre, pour le musée du pays brignolais (une sacrée réussite à ce qu'on raconte) ; la version brignolaise de la multiplication des pains, s'agissant des places de parking (rendons grâce au divin Oui-Oui et à son égérie) ; ou encore l'usage intensif d’une cellule marketing concernant le centre-ville et tant d’autres choses (service s’apparentant, au plus près, à celui d’un moulin à vent) ; nous connaissons désormais la gestion au doigt mouillé concernant les arrêts de bus. P’tèt ben qu’oui, p’tèt ben qu’non . Et la faute à qui s’il vous plaît ? Aux commerçants d'abord, vu qu'il n'y a plus paraît-il de syndicat pour causer, alors que Monsieur Oui-Oui, c’est un fait connu, il adore causer. Aux habitants ensuite, vu qu'ils n’ont pas encore donné leur avis, attendu aussi qu’on ne leur a pas demandé, alors que Monsieur Oui-Oui, il n'a qu'une envie, celle de les écouter la main sur le portefeuille ! Ah non, il faut dire « la main sur le cœur », foi de charbonnier... Vous voulez notre avis ? Il n'y aurait, du jour au lendemain, plus d'élus à Brignoles, vous ne verriez aucune différence et la situation générerait des économies extrêmement substantielles. Il existerait même une bonne chance que la commune s'en porte mieux, beaucoup mieux.
Surveillez tout de même l’actualité politique, quelque chose nous dit qu’à Brignoles le pire est toujours devant nous… Christian Caïetti faisait parler le Mage de Bargemon pour connaître la situation de Brignoles, aujourd’hui il suffit de faire parler Monsieur Oui-Oui. C’est à ce genre de détail qu’on peut valablement mesurer le pétrin dans lequel nous sommes tombés !

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