vendredi 21 juillet 2017

Petits hommes, autant d’insignifiance et d’ignorance pour tant de prétention.

Avez-vous remarqué comme ce sont toujours les êtres les plus insignifiants qui ne cessent de s’attribuer des mérites, dispensent des louanges à de faux et hypocrites démiurges, brandissent parfois de vaines menaces envers de plus coriaces, léchant mutuellement et lascivement le vernis dont ils s’enduisent ?
Leur arrogance n’a d’égale que leur vacuité. Des bouffons ils ne possèdent certes pas la hardiesse, n’ayant hérité que du caractère grotesque. Vous pouvez les observer, arpentant les ruelles de la cité, bedaine au vent, fiers de leur inconsistance comme des paons. Quand l’évocation de singes camouflés sous des peaux de lions, illustrerait à merveille l’existence de tels sots prétentieux.
Une existence faite d’ombre plus que de lumière, avant que la baguette d’une Duchesse, fée Carabosse à même de transformer les crapauds en caniches, ne finisse par se poser sur des têtes si creuses. Cependant, même les plus grands mirages ne durent guère, alors le sortilège s’évanouit aussi pour ne laisser que l’écume. Qu’ils n’aient toutefois crainte, « les aigles ne pourchassent pas les mouches. »

Lu dans la presse :

Le bourgmestre falot du Val réagit vigoureusement, il entend des « rumeurs qui démolissent son action » il perçoit « une volonté de faire tomber la mairie ». Une raison de plus pour « défendre ses méthodes et continuer de gérer la commune dans de bonnes conditions » (sic !). La moitié de ses conseillers ont démissionné, alors tel Ulysse bravant le courroux de Zeus, « Papy Mougeot » sur son radeau, nargue les flots déchaînés. Beau comme l’antique, con comme la lune !
Monsieur Oui-Oui, Vicomte de Barbaroux, « a pris la parole afin d'assurer les Brignolais qu'il consacrerait les trois prochaines années de son mandat à poursuivre le travail engagé » (et re-sic !) par Madame la Duchesse, « qu'il a largement saluée pour l'engagement… » (et re-re-sic !). Quand on regarde attentivement à la loupe le palmarès national et local de la dame, cela donne carrément la trouille !

jeudi 20 juillet 2017

Tourves, Le Val, Brignoles, cherchez l’erreur.

Il y a un point commun notable entre ces trois communes, celui du climat détestable que chaque majorité respective a contribué délibérément à y instaurer, allié à une prétention sans bornes de quelques individus. Tandis qu’une grande humilité devrait plutôt compenser l’ignorance. Les causes en sont multiples, mais là n’est pas le sujet. Même causes, mêmes effets.
La comparaison s’arrête pourtant là. Car à la tête des deux communes les plus modestes par la taille, nous retrouvons plutôt des suiveurs compulsifs de Duchesse, une posture qui en dit long sur les personnalités. Il faut dire que Madame la Duchesse adore que vous vous prosterniez pour lui baiser les escarpins, quand des esprits normalement constitués devraient botter essentiellement et vigoureusement les fesses ducales. Une autre différence de taille saute aux yeux, il existe dans ces deux communes, des élus capables et travailleurs ayant conservé une lucidité de bon aloi. Nous aurions pu la croire disparue par instant, l’exercice étant rendu particulièrement ardu dans un contexte faussé par les manipulations permanentes. Il n’en sera rien. Alors que dans la commune phare (plus par effet comique que par référence à imiter), il s’agit de tout son contraire. Pour ajouter à la peine, ses élus plastronnent et pérorent !
Vous avez donc trouvé l’erreur, c’était décidément trop facile !

mercredi 19 juillet 2017

Chau-ffeur !

Aux parents soucieux de bien guider leurs enfants afin qu’ils « réussissent » dans la vie, nous proposons une pierre philosophale pour l’emploi. Celle qui permet aussi de changer de vils métaux en métaux précieux, qui prolonge la vie et guérit les maladies. Non, malgré le titre, il ne s’agit pas d’une ode supplémentaire à « l’ubérisation » de notre société, loin de nous une telle pensée.
L’avenir appartient pourtant aux chauffeurs, mais pas n’importe lesquels. Regardez-bien le Cardinal de RichOdel qui a débuté une brillante carrière comme chauffeur de Madame la Duchesse. Il s’est bien essayé naguère à la restauration, mais cela n’a guère était concluant. Il est pourtant aujourd’hui mieux rémunéré qu’un premier ministre, grâce à une généreuse association, élu départemental, même s’il vient de se faire rétamer à une élection nationale, trop gourmand. Un magnifique patrimoine lui permet malgré tout de garder le menton haut et de ne pas désespérer de l’avenir, celui-ci ferait d’ailleurs pâlir d’envie plus d’un élu national ! Regardez aussi Monsieur Oui-Oui, chauffeur de député et de président départemental, avant de rebondir dans l’immobilier. Evitons toutefois les détails, dans lesquels le diable se cache toujours insidieusement. Il est aujourd’hui maire, Comte de Barbaroux, vraisemblablement une passion cachée pour les trous. Porté aux nues par une cohorte de conseillers bienheureux, ces derniers espérant bien que les gueux de citoyens continuent de faire assaut de courbettes et de risettes sur leur passage. Quant aux noblaillons à la tête de cette pantalonnade, ils se paieront évidemment sur la bête.
Ainsi, tout le monde est servi. Comment ? Pas vous ? Bien sûr, mais ce n’est pas l’objectif, pas le leur en tout cas. Nous ne vous disons pas qu’il ne faudra pas laisser tomber quelques illusions sur les valeurs, sur les principes, ni sur le labeur qui forgent une vie, car un enfant honnête mais pauvre, ça ne fait pas envie, qu’en pensez-vous ? Alors on dit merci qui, pour ce nouveau tuyau en béton ?

mardi 18 juillet 2017

Heu-reux !

J’suis conseiller municipal…, j’suis pas un imbécile, toute la journée je disserte sur le rapport qu’il y a, entre la pensée de Madame la Duchesse (proche de Blaise Pascal) qui a dit : « je vous aime » et la pensée de Monsieur Oui-Oui (plus proche de René Descartes) qui a dit : « moi non plus ! »
J’suis conseiller municipal…, j’suis pas un imbécile. Il y a le haut du pavé, les adjoints. Eux ils sont payés pour réfléchir. Et ça se voit, ils réfléchissent tellement bien la lumière, que la lumière ne les pénètre jamais. Ensuite il y a le bas du fossé, les conseillers ordinaires. Eux, ils ne sont pas payés, donc ils n’ont pas besoin de réfléchir et d’ailleurs ils ne s’en privent pas.
J’suis conseiller municipal…, j’suis pas un imbécile. La preuve, on m’a choisi.
Bientôt on va avoir des renforts intellectuels, grâce à deux inséparables apprivoisés par Monsieur Oui-Oui, dont lui-même ne se sépare plus. Mais nous aurons le temps d’en reparler. J’suis conseiller municipal…, j’suis pas un imbécile, j’suis heu-reux !

samedi 15 juillet 2017

Toutes les cloches du monde n’ont qu’à se le tenir pour dit !

Quelle gourmandise ce conseil municipal, même résumé. Commençons par notre histrion préféré, l’inventeur du RLB, sûrement un amoureux des fameux maillots Robinson Les Bains, à l’influence aussi surannée que ses postures burlesques. Il invoque la République, alors que la Cour est son domaine, plutôt celle des miracles d’ailleurs, car il n’a pour lui ni l’audace des bouffons, ni la verve impudente des courtisans, juste avant que le ridicule n’emporte le jouet malheureux de l’humiliation. Aussi ne peut-il tuer que lui-même, un moindre mal.
Monsieur Oui-Oui avec ses harangues, certainement très efficaces pour emporter un auditoire de bécasses et autres balourds, a bien du mal à obtenir le même effet pour convaincre une audience moins ignorante, quand de surcroît elle n’est pas corruptible. Agacé, il finira par lâcher « Comment vous voulez que je vous dise aujourd’hui ce que nous allons faire… » sic ! Ailleurs, ce simple aveu aurait suffi à déclencher un tollé, à Brignoles c’est le quotidien. Ne vous « méprisez » pas lancera-t-il ensuite à son prédécesseur, il y a en effet peu de chance que ce dernier se méprenne sur une méprise.
La réplique de notre du Barry, la Comtesse des préaux, à une demande fort légitime et réalisable de l’éphémère premier adjoint nous a ravi. Agressive, teigneuse à souhait, plus vrai que nature en somme, c’est sans doute le lourd fardeau de son emploi du temps professionnel qui lui permet de planifier des réunions en milieu d’après-midi. A l’exemple de Madame la Duchesse, qui ne souhaitant pas faire rentrer son cocher après la nuit tombée, déteste les réunions en fin de journée… Pourtant nous avons eu vent de mandats où les réunions se tenaient tard en soirée, il faut dire que les élus avaient sûrement un travail, nous voulons dire un vrai.
Notre Pompadour locale, Marquise du temps libre et de la futilité, minaudant en trémoussant du popotin sur la chaise, tenant sûrement à marquer de son empreinte la célébration de l’inconsistance qui allait suivre, lâchera un savoureux : « Et on peut pas faire autrement, c’est comme ça. » L’insoutenable légèreté de l’être portée à son paroxysme.
Terminons par Madame la Duchesse dont on nous a rapporté qu’elle s’était émue de la disparition programmée de la réserve parlementaire. Ce fonds de commerce, notoirement clientéliste, a il est vrai bien du plomb dans l’aile et c’est heureux. En revanche, reprenant la prose douteuse de l’histrion municipal, fustiger le « saupoudrage » communautaire vers des communes membres, parlant d’un mécanisme instauré pour éviter les disparités de territoire, un principe profondément républicain, on n’a plus peur de discourir dans le vide et l’ignorance. Nous sommes curieux de savoir quel sort sera réservé, au « saupoudrage » de subventions versées par le conseil départemental et la région. Seront-elles retournées avec célérité à l’envoyeur ?
Quel bonheur d’entendre résonner en chœur et en cadence autant de battants dans une si petite enceinte… Toutes les cloches du monde n’ont qu’à se le tenir pour dit !

mercredi 12 juillet 2017

Il n’y a qu’un idiot pour être sûr de soi et un imbécile pour le croire.

Nous faisons partie de celles ou ceux qui ont fustigé sous d’autres modes, à titre privé ou non, certaines décisions lors des précédents mandats municipaux. Même durement, les idées et les actes étaient visés, pas leurs auteurs. Aussi nous ne souhaitons pas que les comportements et la capacité des élus d’hier, soient mis dans le même sac que ceux d’aujourd’hui, ils ne le méritent certainement pas. Inflexibles oui, injustes, non !
Rarement dans nos histoires respectives, il nous aura été donné de constater autant d’application dans la flagornerie, le mépris, la condescendance, la vacuité, requérant tant d’ignorance et de médiocrité. Autant de qualités certainement nécessaires pour qui souhaite évoluer dans un tel marigot. Les seuls satisfécits qui puissent être décernés vont au personnel municipal, qui fait ce qu’il peut compte-tenu des circonstances, mais sans lequel le bateau aurait coulé depuis longtemps. Ils écopent, quand d’autres pérorent et plastronnent. Nous avons eu écho de palabres sur la gare ferroviaire, Nicopolis ou la concession d’aménagement, tellement consternants d’absence totale revendiquée de projets structurés et structurants, ne parlons même pas de vision totalement hors de portée de nos pieds nickelés, que cela en devient désespérant.
Nous ne reviendrons pas sur la calamité que peut représenter un organe de presse unique sur un territoire, d’autant plus à une époque où la communication devient prioritaire. L’information peut attendre. Nous ne pouvons que constater les dégâts chaque jour.
Nos oreilles ont pourtant récemment bruissé de volupté en entendant que le responsable de la sixième circonscription, alias Monsieur Oui-Oui, entendait faire savoir que la prestation du candidat LR aux élections législatives, alias le Cardinal de RichOdel, était la cause exclusive d’un retentissant échec. Bigre, on le connaissait fanfaron, prétentieux, bonimenteur, goujat, le voilà ingrat et paltoquet. Certes la prochaine élection interne au conseil municipal ne fait guère de doute sur l’issue. Il n'y sera évidemment pour rien, car une majorité de conseillers a été triée pour gérer ce type de situation sur trois critères essentiels, à des degrés divers : leur vacuité, leur servilité ainsi que leur appétence aux cacahuètes, en cas de besoin ! Cerise sur le gâteau, ils sont bienheureux…, que du bonheur.
Donc tout va bien pour eux, moins pour les administrés qui se sont fait cocufier par quelques noblaillons locaux pressés de connaître le retour de juteuses affaires à leur seul profit. Ceux-là même qui ont pourri la vie de la commune et de ses habitants pendant près de 30 ans. Ils sont donc allés chercher leur oiseau rare dans son fief, où il venait de se faire botter les fesses (non sans raisons), prié qu’il était, d’aller manigancer sous d’autres cieux. Ainsi soit-il, mais le maniement du boomerang n’est pas à la portée du premier venu, un jour ou l’autre il peut vous revenir en pleine poire et faire très mal !

samedi 8 juillet 2017

Veni, vidi, vici.

Siéger dans des conseils municipaux d’anthologie, conduits sous la houlette aussi prestigieuse que le bilan est étincelant, de Madame la Duchesse, quel honneur. Cette dernière vient de perdre sa parure la plus outrancièrement avantageuse, mais elle n’en a pas moins gardé une légendaire et incommensurable vanité. Un signe caractéristique des politicards sans intérêt pour la collectivité, qui mettent néanmoins sérieux et parfois talent à représenter l’inutile, du mieux qu’ils le peuvent.
L’annonce par la pasionaria de sa propre et unique cause, d’une mission accomplie, ses extraordinaires résultats annonciateurs de lendemains enchanteurs ne sont-ils pas là pour en témoigner, suivie d’une démission fort logique, ne pouvait en effet que justifier la « standing ovation » qui nous a été rapportée. Un point d’orgue au terme de plus de trois années de mandat, d’une efficace et insolente réussite. Qu’on se le dise.
Parions qu’une conduite addictive consistant à suivre un exercice collectif de vacuité et de flagornerie, serait génératrice chez les sujets trop exposés, d’une altération irréversible des petites cellules grises agressées par une telle somme de… suffisantes insuffisances ! Il faut croire qu’à Brignoles, la célèbre fête à Neu-Neu a suscité quelque jalousie, ne retenant pourtant que l’aspect phonétique pour nous créer la fête à neuneus. Quelque chose ne tourne décidemment pas rond dans les têtes « couronnées », malgré tout le pire reste bien devant nous, c’est dire la gravité de l’instant.
Nous reviendrons sur les déclarations officielles et tonitruantes passées de Madame la Duchesse, ce sera en quelque sorte un jubilé d’une grande portée politique. En attendant elle va désormais se consacrer à l’agglomération, ce qui nous a immédiatement mis en mémoire la célèbre réplique de Corneille : « Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? » Bien que nous ne souhaitions pas être accusés de non-assistance à personnes en grand danger, nous ne pourrons que compatir au désarroi du peuple de l’agglomération, il n’a certes pas mérité cela, il devra pourtant faire avec. La rançon de l’inutile est à ce prix et cerise sur le gâteau, il faudra aussi payer pour cela.

vendredi 7 juillet 2017

Le bon coin du tuyau en béton.

Aujourd’hui nous proposons un « tuyau en béton » exploitable par tout citoyen désireux de devenir patron d’une belle entreprise rien qu’à soi. Sans avoir à connaître des tourments d’origine administrative, financière, économique ou humaine, pour qui part de rien ou pas grand-chose (donc hors héritiers, cela va de soi) ! Le tout sans le moindre risque ou quasi. Autrement le tuyau n’aurait aucun intérêt. Vous vous dites, ils sont devenus fous, que nenni messieurs dames.
Vous aurez au préalable pris soin de vous inscrire et de militer activement dans un parti politique dominant, à ce stade les convictions et les valeurs ne présentent aucun intérêt. Seule la fin justifie les moyens. Le hasard des rencontres ainsi que votre bagout feront le reste. Cherchez parallèlement à cela une belle association reconnue d'utilité publique, possédant pignon sur rue qui reçoit de confortables subventions permettant de dégager un solde très positif en fin d’exercice. Ne mégottez pas et voyez grand, plusieurs millions d’euros annuels constituent un minimum syndical. Une fois repérée, ferrez la belle à la hussarde en prenant son contrôle. N’ayez aucune crainte, l’environnement politique reste votre meilleur atout, il détient en effet les cordons de la bourse, lui autorisant tous les droits et si peu de devoirs. Aucune avance, aucune compétence, aucune expérience particulières ne vous seront demandées. Certes des qualités telles que le cynisme, l’absence de scrupules, une capacité hors du commun à mentir et à manipuler, sont des vertus cardinales pour réussir.
Payez-vous ensuite sur la bête, salaire, avantages, vous êtes désormais le roi du pétrole et au besoin vous faites un magnifique bras d’honneur aux empêcheurs de tourner en rond. N’oubliez jamais de continuer à servir de plus gradés, vous ayant mis le pied à l’étrier. Les services que vous délivrez vous permettront de le faire sans le moindre effort, quant à de potentiels conflits d’intérêts et enrichissements, qui pourrait s’en plaindre, à part d’honnêtes et donc stupides gens ? Il n’est pas inutile de préciser qu’il faut s’entourer utilement plutôt qu’efficacement, pour cela vous devrez lâcher un peu du fabuleux trésor vers quelques collaborateurs et collaboratrices triés sur le volet ou ailleurs si vous le souhaitez… qui soient donc aussi un peu à votre image ! Dernier détail mais non le moindre, si nécessaire, changez les statuts, afin d’éviter de se faire dépouiller un jour par plus retors que soi ! Pour cela vous aurez pris grand soin de contrôler la composition du conseil d’administration et particulièrement celle du bureau. Il s’agit là d’œuvrer à l’état de l’art, rien de plus mais rien de moins…
Bien sûr, les meilleures histoires ont une fin. Pourtant un difficile divorce, n’empêche en rien une nouvelle histoire d’amour ! Transformez l'épreuve en avantage : une association disparaît, une société naît ! Accompagnez la fin des subventions plutôt que de la subir. Rien de plus simple, le maquis des lois couplé à une complaisance généralisée permettent de décrocher la lune s’il le faut. Et le plus beau de l’histoire, c’est que tout cela ne vous a rien coûté, bien au contraire, alors aucune hésitation à avoir. Quelques dégâts collatéraux, sous forme de licenciements par exemple, ne sauraient ralentir le grand œuvre, ils vous permettent enfin de séparer le bon grain de l'ivraie. D'une pierre, deux coups. Ne vous en faites pas non plus pour les subventions disparues, vous pourrez en récupérer le précieux bénéfice en adaptant les tarifs de vos services, auprès des clients qui percevront directement l’aide providentielle. La boucle est désormais bouclée.
Vous voilà à la tête d’une belle société, sans avoir eu à engager un jour le moindre fifrelin, sans avoir eu de véritables comptes à rendre, et sans concurrence réelle ! C’est quand même un sacré tuyau que nous vous donnons en ces temps difficiles. Vous ne nous croyez pas ? Pourtant nous connaissons l’histoire d’une grosse association varoise ressemblant étrangement à celle de notre scénario ! Evidemment on ne vous l’a pas raconté de cette manière, certes, pourtant à y regarder de très près et n'en déplaise aux imbéciles heureux, notre manière colle encore à la réalité...