vendredi 28 avril 2017

Les mots ont un sens. mais ça c'était avant...

L'Histoire aussi a du sens, à condition de vouloir véritablement s'y intéresser, pour un autre motif que se donner l'air avantageux d'avoir l'air et autrement qu'au travers de commentaires manipulateurs traduisant une rare inculture, dignes des meilleurs comptoirs de bistrots. Une chose est sûre, l'abus de pastis, de rosé et de soleil dans notre région, produit des effets ravageurs sur les cervelles. A trop frire et s’enivrer de "bronzettes" effrénées, d'effluves anisées ou fruitées, elles se désagrègent irrémédiablement.
S'appuyer à coups de parallèles pathétiques et aberrants sur le nazisme (jamais pourtant sur la collaboration locale et ses corollaires d'enrichissements nauséabonds), le totalitarisme ou l'ultralibéralisme, quand cette élection présidentielle n'est que conséquence logique et inéluctable de 30 ans d'abrutissement et d'aveuglement politique, soulève une question prioritaire de santé publique. Ce serait également oublier que nous tous citoyens, sommes les premiers responsables, tour à tour par bêtise indécrottable, négligence coupable, cynisme opportuniste, minable intérêt, veulerie incurable, la longue traîne des affaires politiques ne traduisant que la partie visible de l'iceberg, sur lequel nous fonçons en chantant depuis des décennies. Nous l'avons déjà dit, nous ne roulons pour personne, les citoyens étant souverains dans leurs choix, qu'ils votent ou non. En revanche nous continuerons de ne pas mettre sur un même pied de responsabilité celui qui a déjà le pouvoir et celui qui ne l'a pas, de n'avoir aucune espèce de compassion pour l'arnaque, l'usurpation, la duplicité, l'imposture, l'escroquerie et la manipulation politique permanentes qui nous ont conduits dans l'impasse où nous sommes. Le tout à force de complaisance citoyenne, dont le trop plein commence sérieusement à se mesurer.
Regardez la plupart de nos maires (pas tous fort heureusement), multipliant les bassesses et les renoncements dès qu'on le leur réclame, alors même que leur famille politique vient d'être sèchement désavouée par leurs administrés. Les cervelles ont assurément bien trop rissolées sous le soleil de la Provence. Les mêmes, en privé, se lâchent sans retenue, sur le tandem constitué par Madame la Duchesse et son zélé Cardinal de RichOdel qui veut se faire passer pour ce qu'il n'a jamais été. En public, ce ne seront pourtant qu'assauts de courbettes et risettes. Quelle engeance.
Toutes les collectivités possèdent des fonctionnaires ou des contractuels compétents et dévoués, sans lesquels la situation serait bien plus désastreuse qu'elle n'est. Pour les remercier nous leur imposons, élection après élection, des élus corrompus, incompétents, veules et même parfois cossards, mais toujours grands bonimenteurs. A quoi bon rappeler que ce n'est pas celui qui est à l'origine du désastre qui permettra de l'éviter, ni le fait que de répéter inlassablement une action qui ne résout rien, ne finira jamais par produire un jour l'effet inverse, sauf à espérer de prochains miracles. Question de foi... ou plus prosaïquement d'intelligence.

mercredi 26 avril 2017

Tourves, ton univers impitoyable…

Il ne faudrait surtout pas croire qu’il ne se passe des choses étranges qu’à Brignoles. Dans le petit village de Tourves vit Monsieur le Marquis veillant jalousement sur son cheptel, ou ce qu’il croit être comme tel, un « noblaillon » issu d’une famille bien connue des Tourvains. On le voit régulièrement suspendu aux jupons de Madame la Duchesse, au point de croire sûrement qu’il s’agit de sa maman. Et le Cardinal de RichOdel son papa ?
A force de les fréquenter, il ne peut savoir que notre régime politique a bien changé depuis 1789. Au rythme où il retire les délégations aux adjoints qui ne lui lavent pas les pieds et préférent s'occuper de l'intérêt de leur commune plutôt que du leur, notre Kim Jong-un local doit sûrement confondre sa fonction, avec celle d’un représentant de droit divin surnaturel. Au point de réclamer dans la foulée, et le plus insensé, d’obtenir, une rallonge d’indemnité digne de son rang. Une autre indemnité pourtant conséquente, attachée à une vice-présidence au sein de l’agglomération, compte-tenu du travail effectif à produire, ne saurait en effet suffire à combler des besoins royaux. Qu’en est-il d'ailleurs, de son emploi sur mesure au conseil départemental, le premier employeur familial du département, à des conditions défiant toute concurrence ?
Pourtant une autre chose nous stupéfie plus encore, il s'agit de la cour de flagorneurs et autres profiteurs qui se pressent pour encenser le bellâtre marquis. Cette épouvantable incongruité nous interpelle sur le degré d’atavisme préocupant qui pourrait encore prévaloir sur ce coin de territoire. Bien qu’à Brignoles, nous soyons mal placés pour donner des leçons. Un signe fort nous rassure tout de même, celui du nombre de voix recueilli par le candidat vénéré, après Monsieur 0,3%, de Madame la Duchesse et son fils spirituel : une véritable Bérézina électorale.
Une manière comme une autre de botter gaillardement des culs prétendant grimper au cocotier, sans qu’ils aient été au péalable bien nettoyés. Ce qui est la moindre des choses pour qui prétend être bien éduqué !

Ah les bonnes effluves de poisson putride.

Comme d’autres cardinaux avant lui, le Cardinal de RichOdel, célébrité et talent en moins, a malgré tout compris que pour s’enrichir, l’arène politique est un vivier d’opportunités aussi attrayantes que rémunératrices. S’agitant, multipliant les fonctions en se pavanant, jouant les matamores en privé et les personnages affables en public, suçant la roue du courant majoritaire, un comportement trivial en politique, à défaut de révéler conviction, compétence ou capacité. Nous sommes aussi dans le VAR, en PACA, tout y est permis à condition de n’être regardant, ni sur le contenant, ni sur le contenu. En effet, ce n’est pas partout que vous pourriez réunir près de 2 000 personnes pour se recueillir à l’enterrement d’un caïd de la pègre, digne d’un parrain sicilien. Le respect demeure une valeur sûre, pour les morts ou les vivants, tant que corruption, imposture, imbécillité heureuse, omerta peuvent être célébrées et honorées.
Sa poule aux œufs d’or, le Cardinal ne l’a jamais lâchée d’une semelle et pour cause, des intérêts sonnants et trébuchants vous aident toujours à trouver la voie et la bonne. D’ailleurs avez-vous vu avec quelle prestance Monsieur Oui-Oui, ce magnifique dindon, s’est joliment écarté du chemin. Un pas de côté digne d’une ballerine pour le suppléant en titre et délégué de la sixième circonscription. Il n’est lui aussi qu’un tout petit pion, mais ne lui répétez pas, car le fier Artaban recevrait un coup fatal. Il paraît que le Cardinal de RichOdel se définit comme un bâtisseur, plutôt que comme un gestionnaire. A la seule lecture du rapport de la chambre régionale des comptes sur la gestion de l’ODEL, il a parfaitement raison. Elle évoque pour résumer : irrégularités, dilettantisme administratif, intérêt local discutable, dysfonctionnements récurrents, absence de contrôle, opacité, salaire extravagant, organisation indéchiffrable, objectifs inexistants, efficacité douteuse, concurrence faussée, et ainsi de suite. Alors bâtisseur, vraiment ? Il est vrai qu’il s’intéresse de près à l’activité immobilière...
Comme Louis XIV se faisant torcher le fondement par un valet, préposé au royal fessier, il possède lui aussi ses paltoquets l’essuyant avec dévotion et célérité, tous volontaires, là où le malchanceux valet n’aurait pu se soustraire. Ne se targue-t-il pas également de tirer les fils des marionnettes en coulisses, vu que les élus, maires compris, ne risquent pas de bouger, ne serait-ce qu’un orteil ? Que ce soit par complaisance, par obséquiosité, par intérêt, par crainte, peu importe. Comme au Mikado, le premier qui bouge a perdu. Ainsi peut-on faire embaucher à la collectivité qui on veut, quand on veut, comme on veut, qu’on se le dise ! Au passage nous notons que quelques innocents continuent de croire en leur étoile pour placer un jour, eux-mêmes ou leur marmaille, qui à l’ODEL, qui à la ville, qui à la communauté. Un beau concentré d’humanité. La petite chansonnette « tu la sens bien ma grosse subvention ? » n’est jamais très loin non plus. Sachant que ce n’est jamais celui qui a la plus grosse qui brame le plus.
La politique dans ce coin de territoire est étonnamment simpliste : quand vous constatez une agitation frénétique du croupion chez un lèche-bottes, pour soutenir l’insoutenable, justifier l’injustifiable, vous expliquer où est le(ur) bien, un fort relent de poisson vous saisit les narines, quoi d’autre sinon ?

jeudi 20 avril 2017

Circulez !

Il apparaît que le temps de la gestion municipale brignolaise est désormais intimement lié à celui de l’expérimentation, concernant l’art de l’étude des flux de circulation. Une expérimentation ayant pour effet de nous faire toucher du doigt l’infini. Oui, l’infini du vide sidéral qui emplit des cervelles, propriété d’élus pourtant fiers comme des paons et qui ne doutent jamais de rien, surtout pas de leur utilité et de leur perspicacité.
Rappelons qu’un rond point a existé au Carrefour de l’Europe, il y a maintenant plusieurs décennies, qui avait fini par excéder plus d’un automobiliste, devant le « merdier » généralisé qu’il pouvait déjà occasionner. Nous savons que nos conseillers municipaux ne risquent pas d’être atteint par le syndrome du « burn-out », qu’il soit d’origine intellectuelle ou non. Il suffit de surprendre, une fois dans sa vie, tous ces regards vifs, pétillants, inspirés, illuminés, de lèche-bottes à l’écoute des délibérations en conseil municipal, pour terminer de s’en convaincre. Vous remarquerez que nous n’avons pas abordé l’étape de la compréhension des délibérations en question, visiblement et totalement hors de portée pour la plupart. Alors l’étude des flux de circulation, franchement, n’a-t-on pas placé la barre excessivement et dangereusement haute, avec risque de syndrome méningé pour les concepteurs du machin ? Le meilleur étant réservé aux automobilistes quittant le quartier du Pré de Pâques, contraints d’enfreindre gravement le code de la route en grillant le feu rouge, à moins de vouloir se fossiliser sur place.
La zone des Consacs est à cet égard un autre sommet de l’art municipal. Outre la longueur des travaux, que les plus indulgents ont fini par trouver gentiment délirante, la tartuferie va coûter une fois de plus un « bras » aux Brignolais, parce que par endroit les camions ne pouvaient se croiser et qu’il a bien fallu se remettre à l’ouvrage pour corriger le tir. Des cadors sont pourtant aux manettes, ils n'ont de cesse de vous le répéter ! En même temps en trois ans, nous avons eu le temps de nous en convaincre vraiment.

L’avantage avec la bêtise, c’est que vous ne vous rendez plus compte de rien. Vous vous trouvez dans un état de béatitude absolue, que vous ne pourriez même pas imaginer. Pour cela il faut avoir entrepris des études spéciales et posséder une grande connaissance du vide, or ce n'est peut-être pas votre cas... Dommage pour vous, à moins que non !

dimanche 16 avril 2017

Vous aussi, devenez parlementaire !

Rentrons dans le vif du sujet, le Cardinal de RichOdel pérore dans le journal local (une activité comme une autre) sur l’investissement de Madame la Duchesse pendant 15 ans, dans divers domaines croit-il bon de préciser. Il faut dire qu’il en a besoin de sa poule aux œufs d’or, car le « précieux » de l’investiture pour garantir le vote des automates acquis à la cause, elle le détient. Remarquez à quel point un politicard est capable de nous infliger n’importe quelle ânerie, du moment qu’il possède la bonne étiquette collée sur le front, tant les bienheureux s’en contentent : madame nous assure qu’elle a pris sa décision en décembre (n’en croyez rien, elle l’a forcément prise bien avant) et l’investiture officielle LR a été décernée en janvier, qu’elle s’est empressée d’accepter. En langage politique sans filtre, c’est ce qu’on appelle prendre les citoyens pour des cons. Pourtant, s’ils aiment cela, de quel droit leur refuserait-on un si magnifique présent ?

Revenons à nos moutons : qu’a donc bien pu faire Madame la Duchesse pendant 15 ans, à user ses fonds de culotte sur les bancs du Palais Bourbon ? Elle a signé, elle a beaucoup signé, c’est une compulsive de la signature. Lit-elle au moins ce qu’elle signe ? Il est sérieusement permis d’en douter. Une preuve ? Rappelez-vous sa tentative d’explication concernant sa déclaration fantaisiste à la HATVP, dans le Midi cela porte un nom : une galéjade. Un aveu si convaincant que le procureur lui a infligé l’amende maximum, malgré une opportune procédure de plaider-coupable. Une manière d’éviter l’injure suprême : l’inéligibilité prévue par les textes. Madame n’avait paraît-il pas tout compris. Elle a certes voté contre la loi (on comprend mieux aujourd’hui pourquoi), mais même quand on vote « contre », il est recommandé de connaître le sujet, à défaut de le maîtriser. Ne croyez-vous pas ?
Ah la défense de la chasse à la glu, une posture à peine clientéliste, vis à vis des électeurs chasseurs et quelle avancée pour le territoire. Quant à l’affaire du rosé, le casus belli pour les viticulteurs français : s’il n’y avait eu des Xavier de Volontat, François Millo, Michel Barnier (même tardif) et un front uni de vignerons indépendants, on boirait aujourd’hui un mélange de piquette rouge et blanche. Madame la Duchesse a su tirer parti de la bataille à son avantage, dans une région où la viticulture règne, il faut lui reconnaître ce talent. Une communication publicitaire, une bonne gesticulation et l’affaire est dans le sac. L’hôpital ? Vous nous connaissez, on rend toujours à César ce qui appartient à César, si l’on en parle moins aujourd’hui (quoi que), c’est en majeure partie dû à la mobilisation du premier magistrat qui l’a précédée, du personnel hospitalier et pas grand-chose d’autre. Là encore, beaucoup de communication, de gesticulation et c’est à peu près tout.
Alors que reste-t-il, en dehors des signatures ? Des propositions de lois ? Aucune. Des rapports parlementaires ? Aucun. Des propositions d’amendements ? Aucune. Des interventions ? Quelques-unes, mais aucune ne passera à la postérité, nous pouvons vous l’assurer. Des actes de présence ? Toujours le mercredi, il y a les caméras. Ah pardon, quand les parlementaires ne sont pas dans l’hémicycle, cela veut dire qu’ils bossent comme des forçats en commissions diverses et variées et vous y croyez toujours au Père Noël ? Elle n’est pas la seule, c’est vrai, cela concerne plus d’un tiers de parlementaires, mais on s’en moque des autres, enfin disons plutôt qu’ils ne constituent pas une priorité pour nous.
Concernant ce bilan de 15 ans, la seule chose que nous retiendrons, c’est le montant total brut généreusement payé par le contribuable (indemnité parlementaire, des collaborateurs, IRFM) soit la modique somme de plus de 4 millions d’euros (hors facilités de circulation, moyens de communication, restauration) ainsi que la retraite dorée. Cette dernière garantit un confortable matelas au bout de 15 ans, qui vous place d’entrée en haut de la pyramide des revenus, ajoutez-y la retraite du conseil général, les indemnités de la Provence Verte, le remboursement des frais et autres avantages que vous n’aurez jamais, enlevez le vilain écrêtement réservé aux seuls parlementaires en activité, pourtant déjà fort avantageux, et c’est l’eldorado ! Nous ne vous comptons pas les indemnités de Maire, c’est le pourboire pour les pauvres... Tout ça pour ça !
Comprenez-vous mieux pourquoi vous n’êtes pas invités ? Servir les citoyens ? Quelques-uns, oui, mais vous les repérez vite, vous ne pouvez pas confondre. Pour ce qui est des placements familiaux ou clientélistes extrêmement ciblés (à titre personnel ou électoral), voilà un excellent choix avec un rendement revenu/travail incomparable. Si vous avez la mentalité requise pour cela, profitez-en. Des compétences et des capacités, vous n’aurez nul besoin sur ce coin de territoire ; restez souriant, prévenant avec les personnes âgées, gentils avec les enfants (les parents sont aussi des électeurs) ; promettez mais pas trop, il faut rester crédible ; affichez votre détermination, sachez être grave ou enjoué quand il le faut. N’ayez aucun scrupule, une attitude incompatible avec la fonction ; mentez effrontément. S'il faut reconnaître une erreur, faites-le à la marge, renvoyez toujours la faute sur les autres. S'il vous reste un embryon de conscience, ne vous encombrez pas avec, c'est inutile ; dites grand bien de vous et vos nombreux succès. Ils n'existent pas vraiment ? Aucune importance, le électeurs ont des mémoires d'étourneaux. Enfin, sachez vous montrer aussi corruptible que corrupteur et les portes de la victoire vous seront grandes ouvertes.

samedi 15 avril 2017

Le candidat du « Mordor » dans « La Terre du Milieu ».

Vous avez eu la version avec pince à sucre et petit doigt relevé sur la tasse de thé, offerte par la feuille de chou locale, voici la nôtre. « Le candidat que l’on n’attendait pas » ? Tu parles Charles, il ne faut vraiment rien comprendre (ou ne rien vouloir comprendre) à la politique varoise pour avancer de pareilles sornettes, excepté en usant du treizième degré de l’humour. Nous l’avons anticipé, annoncé depuis belle lurette, nous avons eu connaissance des sérieuses préoccupations (amplement justifiées de notre point de vue) sur le personnage, au sein même de la hiérarchie LR. Parions que quelques échanges sibyllins sur de vieux « dossiers », auront dû achever de convaincre les plus récalcitrants qu’il n’était pas très opportun d’empêcher si royale et naturelle ascension. Les réseaux de noblaillons autant illuminés qu’intéressés, dont vous ne faites bien sûr pas partie, servant ensuite à prodiguer la bonne sousoupe officielle, y compris frelatée. Les électeurs n’en doutons pas, iront ensuite à l’abattoir comme les veaux, en meuglant… Il n’y a aucune raison de changer les méthodes qui nous font perdre, pendant qu’elles enrichissent quelques initiés.

S’il ne fait aucun doute que le Cardinal de RichOdel, nabab local, n’a rien à envier à Madame la Duchesse dans les domaines du « foutage de gueule » et de la malignité réunis, à l’usage exclusif de son service, il n’existe aucun espoir à en attendre sur les résultats. Ils seront exactement du même niveau en cas d’élection. Fort en gueule autant que désagréable dans les coulisses, à défaut d’être fort en thème, il sait être résolument affable sur la scène, limite bienveillant, expert émérite dans la séduction de gourdasses et autres lourdauds. Ses « spécialités » restent néanmoins les enfants et les personnes âgées. D’ailleurs vous remarquerez que sa première prise de parole officielle est axée autour de ces incontournables sujets de prédilection. Précisons pour les novices qu’il ne s’agit pas de spécialités concrètement acquises, mais de spécialités à vocation purement politiciennes, ce qui n’a rien à voir. Vous l’aurez compris, le bon filon pour séduire sur ce territoire, reste de mettre le focus sur les jeunes, les moins jeunes, le temps d’une élection. Une stratégie vieille comme le monde et le territoire, qui perdure grâce à l’aveuglement, la passivité ou la complaisance. Mais du moment qu’elle fonctionne, où est le mal nous direz-vous ?

Ah nous pourrions vous en raconter de belles, au point que les oreilles et les yeux vous en tomberaient, mais il est un peu tôt pour le faire et nous ne boudons pas notre plaisir de prendre notre temps. Nous avons bien le droit, nous aussi, de nous faire plaisir de temps en temps. Et Monsieur Oui-Oui dans tout ça, le suppléant cocu sèchement éconduit ? Il fait le dindon, c’est son destin. De toute évidence, Madame la Duchesse ne pouvait décemment dévoiler qu’elle allait continuer d’enrhumer les Brignolais, sans provoquer une franche déculottée dans « sa » (prière de ne pas rire) commune, comme naguère à Saint-Cyr. Sachez tout de même que ses deux principaux laquais ont quitté le navire Brignolais depuis plusieurs semaines déjà, l’une pour rejoindre l’agglomération (nous saluons au passage les heureux bénéficiaires du transfert que sont les services brignolais), l’autre pour prendre la place qu’il convoitait ardemment, depuis qu’un simple strapontin lui avait été généreusement offert au conseil départemental. Au point que les « profiteroles » lui étaient montées rapidement dans le cou, ce qui est gênant, vous en conviendrez. Mais nous on dit ça, on n’a rien dit.

Bien entendu, vous aurez toujours les idolâtres, flagorneurs et autres corruptibles, ramollis de la cervelle à force de léchage compulsif et d'avoir trop rissolée au soleil, pour vous jurer que tout cela n’est que vilénies et faussetés. Oui ils pourront vous le dire, mais nous n’en avons cure, parce que la différence entre eux et nous se situe dans les faits, dont nous avons une connaissance suffisamment pointue ! Le fait qu’un grand nombre d'administrés souhaite continuer à se faire baiser (au propre ou au figuré, peu nous en chaut) ne saurait nous inciter à une quelconque compréhension, même feinte.

La morale, quelle perte de temps !

Pourquoi tant de citoyens, à Brignoles ou ailleurs, raillent-ils toute quête de vérité et de justice, quand elle a pour effet de battre en brèche des certitudes bien établies ? Tout simplement parce que les uns ne désespèrent pas d’accéder eux aussi au pouvoir et aux privilèges, quand d’autres plus nombreux souhaitent en profiter, à protéger leurs intérêts ou à les développer. Nous ne comptons pas ici les blasés, les cyniques et les simples d’esprit. Seulement la gangrène commence toujours tranquillement, pour finir inexorablement dans la puanteur et la mort, à moins de se débarrasser rapidement des parties infectées ! Imaginez une commission chargée de définir les règles en matière de moralité et d’éthique, co-présidée par Balkany et Cahuzac, où l’on retrouvera Fillon, Strauss-Kahn, Guérini, Le Pen, Tapie pour les plus célèbres, mais la liste serait bien longue. Remarquez que nous pourrions tout aussi bien supprimer de notre vocabulaire, les mots, morale, éthique et tous ces concepts d'un autre âge qui encombrent les consciences politiques, certains en rêvent déjà. Mais ne vous faites pas d’illusions, la grande majorité d’entre nous ne profitera nullement du vide. L’absence de morale, d’éthique, de probité, d’intégrité ne vaut pas pour les manants que nous sommes.

Nous sommes abreuvés d’éléments de langage politique avec pour conséquence d’aller voter en idolâtre ou en se pinçant le nez pour les plus lucides, voire ne pas le faire pour les plus dégoûtés. Un nombre toujours croissant de citoyens ne se satisfait plus du système politique actuel, soit, mais tant qu’il servira en l’état les juteux intérêts d’un petit nombre, il n’est pas prêt de changer en continuant de véhiculer les niaiseries et fadaises que représentent les expressions de type « vote utile », « front républicain », « moi ou le chaos », « le moins pire », « ça a toujours été comme ça », « les autres c’est pas mieux », « le système », « l’anti-système », « le meilleur programme », « l'apocalypse économique » pour alimenter autant d’écrans de fumée que nécessaire. Le chaos ne vient jamais de l’absence d’un ou d’une « indispensable » surtout quand il est auto-revendiqué, il vient toujours de nous. Selon la formule prêtée à G. Clémenceau « les cimetières sont pleins de gens irremplaçables, qui ont tous été remplacés. » Et la planète continue pourtant de tourner. La corruption ne saurait être un mal nécessaire ou une fatalité. Nos valeurs figurent au fronton de toute mairie et pas seulement pour l'esthétique, mais pour rappeler à tous, ce qui a fondé l'avénement de la République Française. Exprimant un subtil équilibre toujours difficile à obtenir entre « à chacun selon ses mérites » et « à chacun selon ses besoins ». Il a pourtant longtemps servi de modèle aux quatre coins de la planète, avant de servir de paillasson à nombre de ses représentants élus. Des élus qui confondent de plus en plus « servir » avec « se servir ». Des élus qui savent que paraître est une condition nécessaire et suffisante en politique. Donc des élus toujours « bon chic, bon genre », un critère important pour continuer de séduire la catégorie qui vote le plus massivement et la plus paniquée par les changements de l’ordre établi, même défaillant, surtout s’ils les concernent : à savoir les plus âgés et les plus aisés, héritage des années fastes. La bonne nouvelle reste que l’ordre et l’harmonie naissent du chaos, une autre manière de dire que la lumière jaillit toujours des ténèbres (au sens scientifique et non biblique), alors s’il faut absolument en passer par là, qu’il en soit ainsi, nous verrons bien…

mercredi 12 avril 2017

Prendre les gens pour des imbéciles ? Une véritable profession et une passion chez certains.

Recueillir la bouillie pour gaver les oies ? Un sacré métier également. Il faut aimer, mais l’alimentaire conduit à tout, et surtout au grand n’importe quoi, que voulez-vous y faire ? Donc nous voilà, nous tenant les côtes, devant un article désopilant écrit en authentique langue de bois brut, sur les motivations récentes de Madame la Duchesse, quant à sa non candidature aux futures législatives. Avez-vous lu la moindre allusion au candidat qui va la remplacer, que nenni, car le journalisme est une activité qui ne supporte aucun amateurisme, ou presque. Il faut quand même le savoir. On va tout de même vous épargner les poncifs, truismes et autres tautologies qui sont autant de caractéristiques littéraires essentielles dans la communication de Madame la Duchesse et qui ont tant fait pour son succès, auprès de ses adulateurs émérites.

Nous passerons également sur le mépris affiché à l’égard du représentant du FN. Il est assez grand pour lui en coller une belle (verbalement s’entend), au seul vu du gouffre abyssal des niveaux d’études et de travail qui les séparent et puis ce n’est pas l’objet de notre article. Au-delà du verbiage insipide et sans le moindre intérêt auquel nous sommes désormais conviés régulièrement dans les pages de la presse locale, nous résumerons la fatuité et la vacuité du discours par cette phrase mémorable : « Je considère que l’équipe municipale que je dirige depuis trois ans a déjà fait du très bon travail pour Brignoles. »
Madame considère ; manants veuillez circuler !
Madame dirige ; ses flux financiers certainement et avec quelle opiniâtreté, sinon quoi d’autre ?
Madame a déjà fait du très bon travail pour Brignoles ; assurément le même qu’en 15 ans d’assemblée nationale, un électro-encéphalogramme plat avec deux mains dans le dos suffirait à y pourvoir.
Oui vraiment, vous prendre pour des imbéciles est une occupation à temps plein qui ne souffre aucune autre occupation parallèle. E-rein-tant !

mardi 11 avril 2017

Triple peine annoncée pour les Brignolais !

Et voilà le tour est joué, Madame la Duchesse aura réussi à rouler tous ses adulateurs idolâtres et (souvent) consanguins dans la farine. Elle ne se présentera définitivement pas aux élections législatives en tant que titulaire, mais en tant que suppléante. Brignoles étant désormais condamnée à terme, à une possible triple peine, Monsieur Oui-Oui comme Maire, Madame la Duchesse comme Présidente d'agglomération et le Cardinal de Richodel comme Député. Alors, heureux les Brignolais ?

Mais rien n'est perdu, si vous avez les dispositions nécessaires pour cirer les pompes matin et soir, jouer les ravis bienheureux dès qu'ils ouvrent la bouche, peut-être auront-ils la bonté d'âme de vous jeter quelques miettes du plantureux repas, mais rien n'est moins sûr. Il faut quand même être un minimum niais, au risque en vous réveillant, d'entrer en conflit avec une conscience, si petite soit-elle. Bien sûr, Madame la Duchesse vous racontera qu'il n'y a rien de politique là-dedans. Sur ce point nous sommes d'accord. Pour connaître quelques politiques dignes de ce nom, il faudrait avoir une imagination fertile pour prétendre le contraire et ce serait faire injure aux rares politiques qui méritent encore l'appellation, qui n'a certes plus rien de contrôlée. Elle vous demandera de vous rallier derrière sa traîne de duchesse, afin de dévorer la plus grosse tarte à la crème politique depuis la quasi disparition du PCF, à savoir le démoniaque FN. Devant un parterre d'idiots utiles ou inutiles, manipuler l'opinion, y compris maladroitement, demeure un excellent rendement. Même si elle a renoncé en rase campagne (tout en restant une opération financièrement très attractive) et qu'elle se moque bien du tiers comme du quart du parti en question, ce dernier ne servant pour l'occasion que de leurre. Compte tenu de l'état déliquescent des autres composantes politiques sur le territoire, il n'y a même plus à se baisser pour amasser.

Bon nombre d'élu(e)s se renieront malgré tout avec ardeur pour s'exécuter avec dévotion, par cupidité, par faiblesse, par bêtise, par couardise, par vanité, par calcul, qu'ils appellent hypocritement et cyniquement : loyauté. Avec autant de valeurs dans la besace à turpitudes, une petite minorité n'a pas fini de se sucrer, quand une grosse majorité continuera de geindre en cachette. Vous vous demandez comment pareille carambouille malodorante est encore possible de nos jours ? C'est enfantin à comprendre, il suffit de posséder de solides dossiers, beaucoup plus faciles à constituer qu'un programme ou un projet, qui de toute façon ne seraient pas appliqués, et pour cause, il faut des cerveaux pour cela !

lundi 10 avril 2017

Les politiques croient fermement qu'ils sont indispensables, jusqu'à ce que les citoyens ouvrent les yeux et l'imposture disparaît.

Prendre les gens pour des imbéciles ? Une pratique extrêmement courante chez certains élus. Mais être pris pour un imbécile par plus imbécile que soi ne saurait constituer une véritable offense. Vous avez déjà entendu parler de la charte signée par les élus de Brignoles qui fait se gausser chaque administré, dès qu’on évoque un tant soit peu le sujet. Désormais l’ensemble de la Provence Verte pourra en profiter, puisque la loi impose désormais de faire lecture de la charte de l’élu local et d’en remettre une copie aux intéressés, à chaque réinstallation d’une assemblée. Quelques explications si vous avez manqué un épisode : pour les curieux, la charte figure dans l’article L1111-1 du CGCT (Principe de libre administration), pour l’essentiel on y traite de probité, d’intégrité, de conflit d’intérêts, d’intérêt particulier, d’assiduité, de responsabilité, d’avantage personnel. En bref, un texte qui devrait être parfaitement inutile pour des élus responsables. Oui mais voilà...

Illustration pour le conflit d’intérêts et la responsabilité : le maire de Pourrières, également vice-président de l’agglomération, du département, y occupant un treizième poste créé spécialement pour l’occasion et on se demande bien pourquoi, car ce ne sont sûrement pas les textes qui l’obligent. Il vient d’être sévèrement épinglé par le journal Mediapart en partenariat avec le Ravi, des organes de presse honnis de toute la sphère bien pensante et bien propre sur elle évidemment. Dans le cadre d’une affaire dramatique de fait divers qui a tout de même tragiquement endeuillé des familles. Si la responsabilité directe du premier magistrat n’est pas engagée dans la mort de deux fillettes, sa gestion d’un contrat passé avec le département (comme l’absence de tout contrôle de ce dernier), grâce à son affaire familiale, est clairement pointée du doigt.
Autre cas de conflit d’intérêts, celui des dirigeants de l’ODEL (abordé également dans l’article de Mediapart), cette sympathique association dédiée aux loisirs des enfants, accessoirement subventionnée à coups de millions d’euros d’argent public, dont la gestion vient pourtant d’être clouée au pilori par la chambre régionale des comptes. Les Brignolais et la nouvelle agglomération connaissent bien ses principaux dirigeants : Madame la Duchesse qui en est toujours la présidente et son Cardinal le directeur général aux multiples facettes, directeur de cabinet, conseiller départemental et il en bave d'envie, député pour arrondir ses fins de mois particulièrement difficiles. A condition que les habitants de la sixième circonscription soient assez lobotomisés et que la hiérarchie locale LR laisse faire le duo infernal. Une nébuleuse très étrange, où il semble bien qu’un petit air de « je te tiens, tu me tiens par la barbichette » ne serait pas étranger à ce qui partout ailleurs, interpellerait n’importe quel citoyen normalement constitué. A ce stade, nous ne vous avons pas encore parlé des embauches clientélistes pour fait du prince, mais ça viendra.
Nous pourrions multiplier les exemples, mais comme tout le monde s’en moque, tant il est vrai que tout va pour le mieux et semble satisfaisant, ce serait probablement une perte de temps. Et l’autorité hiérarchique et judiciaire nous direz-vous ? Aux dernières nouvelles, nous ne possédons toujours pas de preuves tangibles de leur disparition, rassurez-vous !

dimanche 9 avril 2017

Il faut croire que nous devenons de plus en plus cons pour supporter autant de médiocrité.

Voici venir en Italie, la fin du procès « Mafia Capitale », de nombreux observateurs s'interrogent encore sur le sexe des anges pour enfin savoir si les prévenus, comprenant « d'honnêtes » élus et hauts fonctionnaires comparaissant au motif d'association criminelle avec la mafia, peuvent décemment être assimilés à de vulgaires mafieux. Une façon peut-être de sous-entendre que Rome et le nord de l'Italie ne sauraient être comparés aux « sous-développés » du sud, ces derniers affichant moins de « pudeurs de gazelles » s’agissant d’appeler un chat, un chat, pour reprendre l'expression imagée d'un candidat à la présidentielle française ? Derrière cet énième « foutage de gueule » sémantique à l'usage exclusif du grand public, se cache une manière habile pour les avocats de purger les délits reprochés de leur substantifique et peu ragoûtante moelle, rendant les condamnations hautement symboliques au regard des faits, voire caduques.

Une opportunité pour notre région, sachant que des emplois sont à la clé, qu'on se le dise. Il est en effet de notoriété publique, qu'elle est devenue une des lessiveuses préférées et la base arrière de mafieux en délicatesse avec les autorités de leur pays ou carrément en villégiature, dînant tranquillement dans les meilleurs restaurants, se prélassant les fesses à l'air sur les plus beaux yacht. Toutefois silence dans les rangs, il s'agit d'un secret de polichinelle bien gardé, qu'il ne faut surtout pas révéler. Une région pourtant déjà bien pourvue concernant le nombre d'élus mis en examen et rarement condamnés. Ce qui semble logique, attendu que les plus grands cabinets d'avocats se bousculent pour être à leur chevet, sachant que le contribuable, cette poche profonde qui les paient rubis sur ongle, n'y voit aucun mal. Car bien sûr la loi est ainsi faite que pour prouver que le délit est détachable de la fonction, seul cas où l’élu devra payer de ses propres deniers, vous pouvez toujours vous lever de très bonne heure. Et ce, alors que le système judiciaire du pays est financièrement à l'agonie, de là à dire qu'on l'y maintient pour de basses raisons politiciennes, il n'y a qu'un pas que nous franchissons allègrement. Mais « Jésus crie et la caravane passe. » Ce qui nous permet de rappeler qu’en cas de mise en examen pour le « pékin moyen » et sauf erreur humaine toujours possible, nulle planche de salut à espérer, la condamnation viendra plus tôt que tard. Bref, vous vous demandez bien pourquoi cette digression sur des turpitudes qui semblent loin de vos préoccupations immédiates. N'en croyez rien, tant il semble maintenant acquis, à entendre nombre d'élus, que les turpitudes ne sont pas condamnables, non, mille fois non, ce qui est condamnable, c'est le fait de les dénoncer. Il est même honteux d'en parler, alors que vous pourriez très bien continuer à souffrir en silence, pendant que des médiocres festoient sur votre dos, en toute impunité. Une bonne raison, s'il en fallait une, pour continuer à pointer du doigt les médiocres en question !

dimanche 2 avril 2017

Vivre à Brignoles aujourd'hui !

Pour les anciens, ce titre rappellera le titre d'un magazine où Christian Caïetti trempait volontiers sa plume au vitriol pour dénoncer l'incurie politique locale. Il n'aurait jamais pu imaginer dans les années 80, qu'on puisse faire bien pire 30 ans plus tard. Brignoles a donc plus que jamais « mauvaises mines ». L'impensable ne connaît plus de frontières. C'est en lisant les élucubrations de Monsieur Oui-Oui, sur l'imbroglio de « la place des cars », dans une édition du journal local, que nous en avons eu la preuve, si besoin était.
Nous connaissions déjà la gestion politique en mode marionnettistes de l'ombre, pour le musée du pays brignolais (une sacrée réussite à ce qu'on raconte) ; la version brignolaise de la multiplication des pains, s'agissant des places de parking (rendons grâce au divin Oui-Oui et à son égérie) ; ou encore l'usage intensif d’une cellule marketing concernant le centre-ville et tant d’autres choses (service s’apparentant, au plus près, à celui d’un moulin à vent) ; nous connaissons désormais la gestion au doigt mouillé concernant les arrêts de bus. P’tèt ben qu’oui, p’tèt ben qu’non . Et la faute à qui s’il vous plaît ? Aux commerçants d'abord, vu qu'il n'y a plus paraît-il de syndicat pour causer, alors que Monsieur Oui-Oui, c’est un fait connu, il adore causer. Aux habitants ensuite, vu qu'ils n’ont pas encore donné leur avis, attendu aussi qu’on ne leur a pas demandé, alors que Monsieur Oui-Oui, il n'a qu'une envie, celle de les écouter la main sur le portefeuille ! Ah non, il faut dire « la main sur le cœur », foi de charbonnier... Vous voulez notre avis ? Il n'y aurait, du jour au lendemain, plus d'élus à Brignoles, vous ne verriez aucune différence et la situation générerait des économies extrêmement substantielles. Il existerait même une bonne chance que la commune s'en porte mieux, beaucoup mieux.
Surveillez tout de même l’actualité politique, quelque chose nous dit qu’à Brignoles le pire est toujours devant nous… Christian Caïetti faisait parler le Mage de Bargemon pour connaître la situation de Brignoles, aujourd’hui il suffit de faire parler Monsieur Oui-Oui. C’est à ce genre de détail qu’on peut valablement mesurer le pétrin dans lequel nous sommes tombés !