mardi 9 janvier 2018

« Génie sans bouillir », le retour ! Ou l’éloge des con(s)-sac(ré)s.

Génie, le mot n'a rien d'usurpé à lire les nombreuses publicités consacrées à l’équipe municipale. Il faut se rendre à l'évidence, le siècle des lumières ne peut que s'incliner devant le mandat des lumières brignolaises. Sans avoir nul besoin de faire bouillir des cervelles se trouvant déjà au firmament de l'intelligence individuelle et collective. On nous reprochera encore une critique facile, mais outre que nous n'en avons cure, il faut bien reconnaître que de belles perches nous sont tendues et des perches aux verges...
Nous ne racontons pourtant pas tout ce que nous savons, très loin de là, chaque chose en son temps. Souvenez-vous de la zone des Consacs, quant à leur grand étonnement, nos génies (Brignoles en possèderait plusieurs paraît-il, au point que Paris voudrait nous les voler, veuillez-bien ne pas en douter) ont découvert un jour le pot aux roses : de gros camions se croisaient dans le coin. Diable de gredins, il a donc fallu remettre la main dans la poche profonde du contribuable pour reprendre les travaux. Défaire et refaire, c’est toujours faire et ce n’est que de l’argent public après tout. Une déchirure pour une équipe qui n’a pas hésité une seconde, elle a mis héroïquement la main ! Un autre objectif n’était-il pas d’arrêter de transformer occasionnellement en piscine municipale une zone qui n'en demande pas tant ? Là encore, les deux derniers épisodes pluvieux ont eu tôt fait de démontrer qu’un génie adore aussi barboter.
D'autres exemples sont en stock, mais nous serions peinés de traumatiser des adorateurs compulsifs de génies municipaux. Forcément quand vous en tenez, vous ne les lâchez plus, de peur que d’autres ne viennent vous les prendre. Quoique, à bien y réfléchir…

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