lundi 2 juillet 2018

Des menaces ? Quelles menaces ?

De la satire et de la moquerie certainement. Pour paraphraser Coluche, nous arrêterons de le faire quand les politiques arrêteront de nous faire rire. Ce qui restera toujours plus agréable que d’avoir à en pleurer. Il était même encore plus féroce : « Le mois de l’année où le politicien dit le moins de conneries, c’est le mois de février, parce qu’il n’y a que vingt-huit jours ». Donc années bissextiles comprises !
Concernant le niveau, le lecteur est seul juge et sincèrement nous nous moquons comme d’une guigne des appréciations à ce sujet. Chateaubriand, Voltaire, Hugo, La Fontaine, Corneille (non, non, pas le chanteur) nous auraient fait cacher de honte dans un trou de souris, mais là nous ne craignons rien, mis à part que le ciel ne nous tombe sur la tête.
On pense nous connaître (tiens donc, une menace ?), peu nous chaut au point de s'amuser entre nous de cette terrifiante épée de Damoclès. Cela nous glace vraiment le sang. Il est évident qu’en choisissant l’anonymat nous avons aussi fait le choix d’une forme de retenue dans nos commentaires et divulgations… Elle ne se distingue peut-être pas, elle est pourtant bien réelle, compte-tenu des informations en notre possession. Nous non plus ne nous défilerons pas, chaque chose en son temps.
Pour le reste, nous n’avons pas davantage que d'autres l’intention de perdre notre temps à commenter les commentaires des commentaires. Quant aux électeurs, ils commentent dans le secret de l’isoloir (ou franchement pas) et n’ont certes pas besoin de nous pour cela.

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