vendredi 18 juillet 2014

Qu'il est difficile d'aimer. Qu'il est difficile...

Nos oreilles indiscrètes ont été mises en alerte par des propos récents et récurrents comme quoi, les Brignolais allaient voir ce qu'ils allaient voir à partir de.... septembre ! Jusqu'ici, c'était pour rire. Pour notre part, avec ce qu'on a déjà vu, nous avons bien ri de peur d'avoir à en pleurer, alors nous serions tentés de dire STOP ! N'en jetez plus, la cour est pleine.

Comme toujours une fois passée notre humeur ronchon, nous avons essayé de comprendre le sens caché, car forcément, même dans un esprit peu en verve, il subsiste un sens caché pour tenir de tels propos. Sinon quoi d'autre ?

Or c'est à la fin septembre qu'ont lieu les élections sénatoriales. En politique rien n'est jamais complètement sûr, toutefois notre petit doigt nous dit que Madame la Duchesse de Brignoles ne serait pas forcément désintéressée par un poste de sénatrice. Car on a beau dire, Sénatrice, ça en jette tout de même et puis c'est moins fatigant que député, à la vérité le Sénat est une institution quelque peu obsolète tout comme ses pensionnaires qui n'en ont cure, qui reste financièrement très attractive voire plus. Seulement voilà, il y a quatre postes à pourvoir sur la liste conduite par Hubert Falco. Avec Christiane Hummel et Georges Ginesta, trois postes sont donc, sauf péripéties de dernière minute, d'ores et déjà pourvus. Reste un quatrième, pas franchement acquis malgré une gauche divisée, une UDI aux abonnés absents et un FN encore un peu tendre. Enfin les relations se sont plutôt rafraîchies entre Madame et son mentor politique, bien que dans ce milieu, les relations ça va, ça vient...

Comme vous l'aurez compris cela reste compliqué, pourtant notre Duchesse doit quand même ne pas y penser "qu'en se rasant le matin", si nous pouvons nous permettre cette expression aujourd'hui bien connue. Par ailleurs après ces élections, notre mystérieux recours va être très certainement examiné par le Tribunal Administratif de Toulon qui devrait renvoyer, selon toute probabilité, son auteur à ses chères études. Et un appel concentrerait bien trop de suspicion très inopportune, cela ferait mauvais genre, bien qu'en matière politicienne on peut s'attendre à tout, vous avez voté pour le savoir ! Devoir quitter ces bons électeurs du Beausset, de vrais citoyens ceux-là, avec la promesse peut-être définitivement envolée d'une présidence départementale, quel sort cruel attendrait Madame la Duchesse, adieu veau, vache, cochon, couvée, elle qui a tant donné pour la cause (la sienne en tout cas). Ce n'est pas comme quitter ces gueux de Brignolais, quelle délivrance ce serait ! Ah si vous saviez ce qu'elle endure, notre Duchesse, vous auriez un minimum de compassion, ce n'est pas comme les mécréants que nous sommes qui ne se résolvent toujours pas à adorer le veau d'or, tout fout le camp.

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