Car s'il faisait ce qu'il doit, il se souviendrait que "Tout ce qu’une longue suite de travaux constants, aidés de la constante faveur des dieux, réussit à élever, un seul jour le brise et le disperse. C’est donner un terme trop long à ces révolutions rapides que de parler d’un jour : une heure, un moment a suffi au renversement des empires. Ce serait une sorte de consolation pour notre fragilité comme pour celle des choses qui nous touchent, si tout était aussi lent à périr qu’à croître; mais le progrès veut du temps pour se développer : la chute vient au pas de course." Ecrit il y a juste... 2000 ans !
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