mercredi 27 août 2014

"Pour voir qu'il fait noir, on n'a pas besoin d'être une lumière". Philippe Geluck.

Il en va de la collectivité locale comme de l'entreprise, quand le travail est fait et bien fait, ce qui se passe à côté intéresse peu ou n'intéresse pas les citoyens, même pas des secrets d'alcôve, bien qu'à Brignoles vous finissez par savoir malgré vous, tellement le vent porte les potins. Mais foin de médisances.

Seulement voilà, même un nouveau né à Brignoles pourrait s'apercevoir que c'est quasiment le foutoir généralisé. D'abord vous croisez régulièrement au détour d'un couloir des personnes possédant leurs entrées privilégiées, n'ayant pourtant rien à voir ni de près ni de loin avec la gestion de la mairie et de ses administrés. 

C'est ensuite la cote d'amour des élus auprès de Madame la Maire qui semble s'étioler au fil du temps, notre Duchesse commence peut-être à sentir le danger de la situation et se cherche déjà des boucs émissaires commodes, elle n'aura alors que l'embarras du choix. Nous savons inversement par indiscrétions répétées (ce n'est pas encore l'affichage ostensible) que sa cote d'amour à elle fond comme neige au soleil tant auprès de collègues élus, que d'anciens soutiens actifs commençant sérieusement à se mordre les doigts. On peut continuer avec les relations "privilégiées" existantes entre un triumvirat toujours prompt à trouver des coupables en toutes choses, plutôt que des solutions adaptées et efficaces aux besoins de la commune, et un personnel visiblement et pour une bonne part de plus en plus tendu.

Tout cela fait dire à nombre de concitoyens que par rapport à la municipalité précédente, ce qui a changé notablement et en mieux, c'est le pire !

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