samedi 25 avril 2015

Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue.

Cher Albert, comme d’habitude tu avais vu juste. Chacun a pu remarquer que le Musée du pays brignolais est fermé "jusqu'à nouvel ordre". Fichtre, pas pour cause de travaux, que nenni ou alors il s'agirait de travaux que nécessiterait des cervelles en grande souffrance.

Cela a déjà provoqué des dommages collatéraux, trois fois rien, et parmi ce rien une jeune femme venu rejoindre le paisible troupeau de chômeurs déjà bien fourni. Les auteurs des causes n'ont trop souvent rien à craindre, tandis que les victimes de leurs effets ont généralement beaucoup à perdre ! Et l'histoire quelle est-elle ? Toujours la même, celle de "bras cassés", ici ou là peu importe, on retiendra qu'ils excellent dans le bavardage intense et incessant plutôt que dans l'action concrète et productive. Nous le savons depuis quelque temps déjà, l'imagination et l'efficience ne sont que très exceptionnellement au pouvoir, à Brignoles on peut même affirmer sans grande crainte d'être contredit, qu'elles sont éteintes, seul leur souvenir hante les rues de la cité !

Une association qui en a marre de quémander les subventions, une commune qui compte bien se débarrasser en loucedé du fardeau au profit de la communauté de communes et une communauté de communes qui en a certainement sa dose de servir de bouche trous, tout en l'entretenant paradoxalement grâce à de redoutables cireurs d'escarpins de duchesse ! Les bretteurs se faisant aussi rares dans les contrées varoises, que les amis véritables sur les réseaux sociaux ! Les choses traînent donc, en attendant que le prochain miracle administratif ne tombe du ciel, à moins que ce ne soit le ciel qui ne finisse par tomber sur les têtes. Rien que de très banal en somme par les temps qui courent. La cour de flagorneurs municipaux se chargera de trouver des explications, sans nul doute plus époustouflantes les unes que les autres. Nous en salivons d’avance.

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