samedi 6 juin 2015

De retour de Levallois-Perret...

Que de soleil ! Très efficace pour frire la cervelle, pas forcément pour en tirer la quintessence de ce que vous pourriez en espérer ! Et donc de retour aussi dans le monde des turpitudes (petites ou grosses). A ce petit jeu, les fiers zélateurs, laudateurs, panégyristes et autres apologistes d'esprit de cour et de leur icône, dont la capacité et le savoir paraissent étrangement aussi limités que leur funeste aveuglement est incommensurable, dont l'existence même ne dépend que de la procuration qui leur est faite pour brasser énergiquement l'air brignolais, ne ménagent point leurs efforts pour nous inonder de leur incontinence "stupidocratique".

Toujours cette volonté à vouloir détruire ce qui dépasse et surpasse en toute chose ; toujours cette frénésie déployée pour s'entourer de courtisans et courtisanes sur lesquels essuyer confortablement ses chaussures crottées ; toujours cette faculté de mettre un "point d'honneur" à ramener chacun vers le niveau le plus bas et à l'y maintenir pour ne pas risquer une comparaison qui s'avérerait peu flatteuse ; toujours cette pénible constance à manipuler encore et toujours pour d'obscurs desseins, mais de vrais intérêts ; toujours cette néfaste et sordide habitude à préférer s'entourer de complices de l'ombre plutôt que d'acteurs plus éclairants, à défaut d'être médiocrement manoeuvrables.

Le dernier d'une longue liste de présidents de l'ACIAB dérange, il le sait probablement, tout le monde le sait... Il n'est certes pas le seul dans ce cas. Rappelons que l'ACIAB, les Brignolais s'en souviennent, fait collection de bonnes volontés qui finissent toutes un jour par jeter l'éponge. Jusqu'à présent les petites guerres intestines récurrentes suffisaient à son bonheur d'association, aujourd'hui il s'agit de la contrôler pour la mettre au pas (de l'oie ?). On va donc chercher l'heureux bricoleur qui aura l'obligeance de bricoler où on l'autorisera à bricoler, sans subir le moindre questionnement passible d'outrage à majesté. Quelque gros ballot en mal de reconnaissance aura eu à cœur de venir porter sur un plateau la tête honnie, en échange de quelques cacahuètes qu'il s'empressera de mettre sous cloche. Les cloches prolifèrent énormément par ces temps modernes et elles ont ceci de particulier qu'elles peuvent continuer de résonner, quand plus rien autour de vous ne raisonne.

"A bove ante, ab asino retro, a stulto undique caveto". Vous voyez bien que ça sert encore à quelque chose le latin que notre bécassine nationale veut éradiquer : "Prends garde au bœuf par devant, à l'âne par derrière, à l'imbécile par tous les côtés". Une mise en garde toujours d'actualité...

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