jeudi 6 octobre 2016

L’art politique selon ce que nous constatons sur le terrain.

Brignoles restant hors concours et toutes catégories confondues.

Faire croire que vous êtes honnête, alors que vous êtes foncièrement malhonnête.
Faire croire que vous aimez les gens, alors que vous leur préférez nettement l’argent.
Faire croire que vous œuvrez pour le bien commun, alors que vous œuvrez pour vous.
Faire croire que vous êtes humaniste, alors que vous êtes profondément raciste.
Faire croire que vous êtes gentil, alors que vous êtes une teigne.
Faire croire que vous êtes intelligent, alors que vous vous vantez grossièrement.
Faire croire que vous travaillez dur, alors que vous êtes un cossard.
Faire croire que vous écoutez, alors que vous n’en faites rien.
Faire croire que vous dites la vérité, alors que vous êtes un menteur invétéré.
Faire croire que vous allez agir, alors que vous n’en avez nulle intention.
Faire croire que vous êtes victime, alors que vous êtes coupable.
Faire croire que vous êtes compréhensif, alors que vous êtes étroit d’esprit.
Faire croire que vous êtes sincère, alors que vous êtes un manipulateur.
Faire croire que vous êtes compétent, alors que vous êtes tout le contraire.
Faire croire que vous êtes loyal, alors que vous êtes hypocrite.
Faire croire que vous êtes capable, alors que vous êtes inepte.
Faire croire que vous êtes bienveillant, alors que vous êtes méprisant.
Faire croire que vous êtes sérieux, alors que vous êtes superficiel.
Faire croire que vous êtes intègre, alors que vous êtes corruptible...

Autant de qualités qui avec un beau sourire le plus faux cul possible, un cynisme à toute épreuve, et quelque réseaux pernicieux, donnent encore (et malheureusement) d’excellents résultats auprès d’un électorat de plus en plus âgé, puisque les jeunes préfèrent maintenant bouder consciencieusement les urnes. Les politiques professionnels pour se faire élire, disent qu’ils nous ressemblent, ça vous donne la trouille, mais au final c’est sûrement très excessif, peut-être même infondé ! Ouf, il s'en est fallu de peu.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire